lundi 9 mai 2016

Trajet Genève - Paris - Londres...

Le petit-déjeuner et les derniers préparatifs du voyage précèdent notre départ du dôme vers neuf heures vingt. Une vingtaine de minutes plus tard, nous prenons place dans un bus à destination de la gare d’Annemasse. Nous transitons avec un bus de la ligne soixante-et-un pour joindre la gare de Cornavin à Genève. Un temps de détente au Starbucks de l’enceinte de la gare s’offre à nous après l’achat du déjeuner de Patrick chez Pougnier. Le beau Noam, aux yeux de braise, m’accueille à la caisse un peu avant onze heures. Nous sirotons un café Mocha assis à une petite table ronde au centre de la salle. Je promène mon regard alentour. A la table de gauche, un monsieur asiatique, entre deux âges, assis, se frappe le bord extérieur des cuisses avec ses deux poings dans un mouvement lent et saccadé. La pratique empreinte de concentration se poursuit durant plusieurs minutes. Je m’interroge sur le bénéfice de cet exercice. A la table de droite, une jeune femme souriante œuvre à la fois sur un laptot et un téléphone portable tout en sirotant distraitement une boisson chaude. Les minutes passent agréablement. Un jeune homme change régulièrement de table pour finalement venir s’installer dans un fauteuil confortable qui se libère. L’ambiance est animée en raison du continuel ballet des voyageurs. A onze heures quarante-deux nous prenons place dans un TGV à destination de Paris. Nous déjeunons dans le wagon quinze. Riz thaï à l’ananas et courgette en sauce au tofu rosso sont appréciés avec une tranche de pain aux noix. Le restant des mets des jours précédents est toujours aussi savoureux. Je commence sur le Kindle la lecture du tome un du roman « La gloire de l’Edánkan – 1er Héritage : L’éclat du pendentif » de Xavier de Brabois. J’aide une agréable jeune fille souriante, installée sur un siège en opposé de l’allée, à descendre une valise en l’absence de sa mère partie au wagon restaurant. Le train entre en gare de Lyon à Paris un peu avant quinze heures. Chez EXKi rue de Bercy à la sortie de la gare, côté métro, nous achetons les mets pour le dîner. Sandwichs « Gabriel » au pain de maïs à l’houmous de lentilles et salade verte …jus pomme, concombre, épinard …jus ananas gingembre et deux scones bio sont achetés au ténébreux Malcolm à quinze heures onze. Un peu plus tard un carnet de métro est acheté. Une rame du RER D nous dépose ensuite en gare du Nord. Sur le parvis, une étrange maison en nuances de pastel, tel un champignon sorti de nulle part, accroche le regard. Inclinée, voire un peu tordue, elle ressemble à une maison de pain d’épices. Sa présence reste un mystère. Trois photos sont prises. Nous passons le contrôle douanier de l’Eurostar avant un temps de détente, vers seize heures, au salon VIP. Je sirote une camomille en croquant quelques olives noires. Je découvre le magazine « Polka » après un regard sur le magazine féminin « Cosmopolitan »… A dix-sept heures nous sommes dans l’Eurostar qui glisse sur les rails. La lecture se continue. Sous la manche, à dix-huit heures trente en France, soit une heure de moins au Royaume-Uni, nous dînons dans la voiture treize. Quelques oléagineux accompagnent le scone. Nous arrivons en gare de St-Pancras à dix-huit heures trente-deux heure locale. Une quinzaine de minutes plus tard, nous retirons à une borne les deux tickets de train, achetés le 11 mars avant le départ, pour nous rendre demain à Southampton. Un taxi nous dépose sur Northumberland avenue à dix-neuf heures treize. Le conducteur de ce cinquième taxi sollicité à la gare a accepté le paiement par carte. Une pluie fine nous escorte jusqu’à l’entrée. Beatrice nous accueille au Citadines Trafalgar Square London. La chambre 806 nous est attribuée. Avant de rejoindre Morphée pour la nuit, un temps de détente au coffee du Citadines, cosy et confortable, nous offre de siroter un thé. Un grand écran diffuse des informations sur le Royaume-Uni…




 

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